mardi 20 décembre 2011

Vocabulaire

Vous pensez avoir tout le vocabulaire nécessaire pour parler de sexe? Et on ne parle pas là des mots coquins à utiliser sous la couette... Détrompez-vous! Voici certaines définitions qui pourraient vous servir pour expliquer certaines situations

SEGP : soit le Syndrôme d'excitation génitale permanent, est loin d'être aussi agréable qu'il n'y parait. En gros, les femmes qui en souffrent sont constamment au bord de l'orgame, sans aucune stimulation sexuelle. Pratique au lit, nettement moins en salle de réunion.

Autoérotisme : Le fait de se sentir sexuellement excitante. En fait, c'est un synonyme de masturbation, en plus moderne.

Priapisme : Vous ne vous êtes jamais demandée pourquoi Monsieur est prêt à repartir au combat dès la fin du premier round? Parfois, il s'agit de ça, soit le fait que le pénis reste en érection longtemps après un rapport sexuel. Cette situation est potentiellement dangereuse si elle perdure au-delà de quatre heures. Il faut donc urgemment consulter un médecin.

Anorgasmie: Absence totale d'orgasme, généralement chez la femme, plus rarement chez l'homme. 10% des femmes en souffrent. Mais attention, ça ne veut pas dire pour autant qu'aucun plaisir n'est ressenti au cours de l'acte sexuel. Simplement, la femme ne voit jamais le feu d'artifice.

Erotophobie : Une peur irrationnelle, véritable phobie en fait, de parler de sexe ou d'avoir des relations sexuelles.

Homoromantique : Quand quelqu'un est attiré par les personnes du même sexe de manière romantique mais par les personnes du sexe opposé sexuellement parlant. Une belle confusion!

Karezza
: Une séance de sexe très longue sans qu'aucun orgasme ne soit atteint. C'est un peu comme le sexe tantrique sauf que la méthode Karezza est inspirée de la philosophie bouddhiste tandis que le tantrisme provient de l'hindouisme.


Hyperesthésie
: Un état où vous êtes hyper sensible à certains stimuli. C'est ce que vous ressentez quand vous lisez un texte érotique ou quand vous imaginez Jake Gyllenhall torse nu.


Nadege Mambe, 28 mars 2011.